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Tout près du pont du Gard, aux portes des Alpilles, Le Vieux Castillon est un hôtel de charme fraîchement rénové dans un style chic et authentique…

Situé dans les rues médiévales du pittoresque village de Castillon-du- Gard, cet hôtel 4* abrite un ensemble de bâtisses Renaissance. Derrière ses épais murs de vieilles pierres, le temps s’arrête et le visiteur fait l’expérience d’une pause enchantée. L’entrée franchie, on pénètre dans un labyrinthe de ruelles qui relie 18 maisons médiévales, patiemment rénovées. Passerelles, escaliers et salons à la dérobée se succèdent. Impossible d’imaginer que l’hôtel offre plus de 34 vastes chambres, articulées entre deux bâtisses, jouissant de terrasses privées sur les toits de tuiles éculées.

Élément essentiel de l’habitat, l’espace extérieur est un lieu de vie sacralisant la convivialité et le contact avec la nature. Peu à peu, l’évolution climatique modifie nos habitudes et crée de nouveaux enjeux et de nouvelles tendances. Entre innovation et adaptation, voici comment redéfinir l’aménagement de nos terrasses et jardins.

En un siècle, la température a augmenté de plus de 1,5 °C dans les Alpes du Nord (source : Météo France). Toute la région est concernée. Nos étés sont de plus en plus secs et chauds, modifiant notre manière de concevoir et de profiter de nos espaces extérieurs.

 Contrairement aux pièces de réception, la chambre a longtemps été boudée en matière d’aménagement et de décoration. Elle affirme désormais son rôle de cocon indissociable d’un art de vivre harmonieux et déchaîne les passions…

 L’expression « ne s’impose vraiment qu’au milieu du XVIIIe siècle. Selon Pascal Dibie chambre à coucher » (catalogue de l’exposition « Rêves d’alcôves, la chambre au cours des siècles » RMN, 1995), « “à coucher” marque une évolution évidente de la manière de concevoir et d’organiser l’habitat ». Au cours de sa longue et passionnante histoire, la chambre passe de lieu public à privé et intime.

Les années soixante et « la quête de l’hédonisme », selon Françoise Jollant-Kneebone (catalogue précité) lui accordent ses faveurs : « Elle prend vie parce qu’on y vit. Mieux, elle devient l’expression du mode de vie de ses occupants. »

 Le chalet de montagne, bel habitat de bois puissamment ancré dans la pente, tourné vers le soleil et la vue, incarne le mythe de l’habitat montagnard. On lui prête les qualités d’un espace généreux, chaleureux, apaisé. Le chalet est devenu le standard attendu de l’architecture de montagne, une figure codifiée requérant un indispensable confort et une nécessaire évocation de rusticité. Pourtant, l’archétype d’aujourd’hui apparaît bien éloigné de sa figure de référence.

Aux origines, le terme de chalet semble se préciser autour du XIIIe siècle dans le canton de Vaud, en Suisse. Il désigne un abri simple et sommaire destiné à l’abri des personnels de l’alpage. Rustique par essence, il est bâti avec les matériaux du lieu dans une recherche d’économie d’effort et de moyen. Son architecture est adaptée, pragmatique, et le confort très rudimentaire. Il n’est pas un habitat au sens d’aujourd’hui, mais une protection, un refuge et le siège modeste d’une activité d’exploitation (l’endroit où l’on transforme le lait en fromage).

Il n’y a pas un chalet d’alpage type, mais autant de chalets qu’il y a de lieux d’alpage. Dans les altitudes les plus hautes ou dans les combes les plus arides, le chalet sera essentiellement, voire entièrement, fait de pierres. Là où pousse la forêt, le bois est le matériau privilégié. Le mode constructif s’adapte à la géographie.

La céramique réinvestit plus que jamais nos intérieurs, quittant ses traditionnels domaines de prédilection pour des applications plus surprenantes et innovantes. Revêtement, mobilier, décoration, elle peut compter sur son incroyable diversité en matière de textures, de formes et de couleurs pour apporter authenticité et sobriété partout dans la maison.

Sa matérialité brute s’inscrit parfaitement dans la recherche d’authenticité et la démarche écoresponsable actuelle. La céramique ne cesse d’élargir son rayon d’action, faisant valoir ses qualités de résistance tout autant que son potentiel décoratif grâce aux multiples variations et finitions disponibles. Le terme de céramique désigne en réalité l’ensemble des objets fabriqués en terre et qui ont subi une cuisson à haute température. Selon la nature de ses composants et sa température de cuisson, la céramique possède des caractéristiques très différentes et compte ainsi plusieurs catégories dont le grès, la porcelaine, ou la terre cuite (la faïence et les émaux).